Où doit-on s'arrêter ?

[christian]

Je viens du bois, à savoir maquettisme naval, or s'il m'est facile de tailler un petit bout d'arbre de quelques milimètres, le réaliser en volume en papier plié est pour moi encore une gageure étant débutant es discipline.

Je réalise actuellement le prototype d'une semi maquette de la Thomas Flyer 1910 aux environs du 24/25 ème avec les quelques document et photos du net.
Beaucoup d'imagination pour réaliser, si possible d'époque, toutes les choses que l'on ne photographie jamais - le dessous d'une voiture par exemple -

Ma question vient ici: s'il est aisé de dessiner et développer de toutes petites pièces sur son grand écran, les réaliser est une autre paire de manche.
Comme mes voitures sont peintes, j'ai remarqué qu'une sur-épaisseur de papier n'est plus visible qu'avec la loupe.

Alors je m'addresse aux moustachus du site: où s'arrêter dans les détails en volume ?

En modèlisme vapeur, on trouve des écrous et vis de 0.8 mm, j'en ai en France, mais comment en faire en papier ?

Merci de m'éclairer.

[4x4paper]

Le papier a ses limite, mais la texture est là pour tout arranger

[jeanma]

la plupart du temps, c'est toi qui la fixe en montant le modèle.
Ceux qui verront ton modèle distingueront bien moins les détails que toi qui l'a monté.
Une surépaisseur de papier peut aujourd'hui te sembler dérisoire, voir invisible. Mais fait une simple surépaisseur de papier sans en colorer la tranche, et prend une photo en mode macro. La différence te sautera aux yeux, de même que toi au montage.
Je ne travail qu'au 80 gr, mais même à cette épaisseur, aujourd'hui après avoir monté quelques modèles, ça me choque lorsque j'ai omis de le colorer au feutre, à tel point que je dois recommencer ou tenter de la colorer en place sans toucher le reste...
Après, ça dépend du type de modèle que tu fais.
Quand je monte un avion dont le texture me rappelle les buck danny, je reste simple sur les détails, au 1/33 de Halinsky, là je fais le plus petit possible...
a toi de "voir"